PORTRAIT D' ANDRE JUNG
André JUNG
est un quinquagénaire d’une jeunesse éclatante, s’émerveillant de tout, un
nuage dans un ciel menaçant, un arbre décharné dont les branches tortueuses
dessinent le contour d’un profil féminin, un paysage hivernal qu’il scrute pour
mieux le coucher sur son papier velours… C’est également une mémoire vivante au
service de ses auditeurs qu’il tient en haleine chaque lundi dans son émission
radiophonique, c’est aussi mon ancien complice de radio,
alors que pour les besoins publics, j’avais emprunté le nom de mon arrière
grand-père, Pierre KLEIN.
André est
un poète et son œuvre figurative est à son image, épicurienne, colorée,
généreuse, mais aussi rude et forte, sans concession pour les valeurs dont il
se fait le porte-parole ou le porte-plume selon la circonstance.
Il a exposé ses nouvelles œuvres avec succès du 23 août au 10 octobre 2007 chez Frédéric Barbier qui, pour l’évènement, avait transformé sa boutique d’opticien à Nevers en galerie d’œuvres d’art, et l’on a pu y découvrir la Nièvre sous toutes ses formes, pastels, aquarelles et sanguines.