
De la vie d’un Balzac qui ne souffrait aucune exception à un rythme parfaitement réglé, à celle d’un Alexandre Dumas qui exigeait quelque constante agitation pour que s’exprime la fibre créatrice de l’artiste, l’existence des grands écrivains peut s’avérer être pétrie de singulières manies...
Balzac prétendait ne pouvoir bien travailler que le matin, et l’on va voir ce qu’il entendait par là ! L’auteur du Père Goriot se mettait au lit vers six ou sept heures du soir : il se levait à une heure du matin et travaillait...
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