19 janvier 2015
Poésie anonyme
Quelques vers déposés là, en cadeau, par un internaut se nommant Cochonfucius....
Merci !
Un centaure avec crainte approche
Pour entendre de près
La forte lyre qui décoche
De mélodiques traits.
Pour lui, ces notes qui l’attirent
N’ont rien de rebutant ;
Il ne sait pas que dans l’Empire
On en est mécontent.
Mais le centaure est trop timide :
Il s’éloigne, songeur,
Dansant au couchant, dont, limpide,
Se répand la rougeur.
Cochonfucius
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