27 janvier 2014
Les bords de la Vaux
LES BORDS DE LA VAUX
C'était un soir d'hiver, sur les bords de la Vaux,
Où la berge s'enfuit en nombreux écheveaux,
Par une nuit incertaine.
Le soleil se couchait sur le pré, simple, fier,
De vieux saules s'enlaçaient par delà la lisière,
Tout près de la fontaine.
Les feux follets dansaient et nous rions tous deux,
Tout comme deux enfants, insouciants et joyeux,
A la bonne aventure.
Le silence profond s'installait à jamais,
Oh! Comme je t'aimais et comme tu m'aimais,
Douce et tendre capture.
Michel BENOIT
Publicité
Commentaires