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Le Blog de Michel Benoit
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Le Blog de Michel Benoit
8 mars 2010

8 mars fête de la femme

Le 8 mars, fête depuis quelques années la femme, comme on fête le pain d'épice à la foire à neuneu, le boudin blanc à Rethel, l'andouillette à Vire, la Saint Valentin pour tous les couples infidèles, la fête du citron à Menton, la fête des brodeuses à Pont l'Abbé, ou la fête du Picodon, petit fromage de chèvre typique de la Drôme et de l'Ardèche. ... Fidèle à ma réputation de provocateur à tout va, et ayant trouvé peut-être plus incisif que moi sur la question, je vous offre ce texte de Thierry Desseux, mon complice dans bien des domaines, texte d'une grande tendresse vous le constaterez....Je me suis empressé évidement de mettre une musique immédiatement sur ces paroles que j'aurai peut-être l'occasion de vous chanter en toute intimité bien sur..Après avoir été régler ma succession chez mon notaire et confier mon chat Arthur à l'un de mes amis proche.. ämes sensibles s'abstenir !

Pourtant rassurez-vous dans un but d'équité, il n'y a pas de raison que les gros machos aient la priorité sur la gente féminine, que j'adore par de surcroit, et oui, tous les défauts sont dans la nature, je vous livre à la suite la même, mais cette fois pour les hommes.... Il n'ont qu'à bien se tenir aussi les rouleurs de mécaniques et les sportifs de la télécommande... Bon ! comme ça il y en a pour tout le monde !

Y a pas de fumée sans feu 

Ma chanson s’adresse aux bonnes femmes

Belles cocues devant l’Eternel,

Qui crient au scandale et au drame

Quand leurs maris sont infidèles !

Ma chanson est sans état d’âme,

Elles n’ont qu’à se tenir en selle

Sur les gargouilles de Notre-Dame,

Les saintes-nitouches et les cruelles…

 

Si vos époux vont voir ailleurs

Vous y êtes pour quelque chose ;

S’ils fuient vos jardins d’intérieur

C’est qu’on n’y cueille plus la rose…

Vous pouvez crier : – Quel salaud !

Quel obsédé ! Ah le faux cul ! »

Si vos machos rentrent moins tôt

C’est qu’avec vous c’est du tout vu…

 

Chez Diable y a pas d’ fumée sans feu !

S'il vous pousse une paire de cornes,

C’est que vos hommes ont trouvé mieux

Dans les yeux doux d’une Licorne :

Fallait pas dépasser les bornes ! 

 

Ma chanson s’adresse aux pucelles

Qui ont un mari pour faire joli,

Un qui essuie bien la vaisselle

Et qui doit pas défaire le lit…

Ma chanson s’adresse aux bégueules

Pour qui c’est jamais le moment,

Qui feraient mieux de dormir seules

Ou dans le dortoir d’un couvent ;

 

Si vos toutous prennent une minette

Qui leur fait pas : – A ton panier ! »

Qui n’a jamais mal à la tête

Qui n’a pas peur des araignées…

C’est qu’ils ont marre de contourner

Leur moitié froide qui s’en fout,

Marre de l’Hôtel du cul tourné

Où il faut prendre rendez-vous !

 

Chez Diable y a pas d’ fumée sans feu !

S'il vous pousse une paire de cornes,

C’est que vos hommes ont trouvé mieux

Dans les yeux doux d’une Licorne :

Fallait pas dépasser les bornes !

 

Ma chanson s’adresse aux crécelles

Qui ont un mari pour s’ défouler,

Aux emmerdeuses professionnelles

Les incurables si vous voulez…

Ma chanson s’adresse aux grandes gueules

Pour qui c’est jamais assez bien,

Qui ne savent pas ce qu’elles veulent

Et qui râlent toujours pour rien ;

 

Si vos matous qui sont des saints

D’arriver à vous supporter

Tètent leur goutte à d’autres seins,

C’est pour survivre à vos côtés…

Ils n’en peuvent plus de vos reproches

De vos humeurs, de vos critiques…

Ils ont marié la mouche du coche

Sans savoir qu’elle est hystérique !

 

Chez Diable y a pas d’ fumée sans feu !

S'il vous pousse une paire de cornes,

C’est que vos hommes ont trouvé mieux

Dans les yeux doux d’une Licorne :

Fallait pas dépasser les bornes ! 

 

Ma chanson s’adresse aux vulgaires

Qui ont un mari pour lui faire honte,

Qui crachent et jurent comme à la guerre…

Et on voudrait qu’il rende des comptes !

Ma chanson s’adresse aux rombières

Moins féminines qu’un apache,

Qui s’ laissent aller, qu’ont rien pour plaire

Et ne s’épilent pas la moustache…

 

Si vos loulous s’offrent une pin-up

Aux courbes douces et délicates,

Même si pour vous c’est une salope :

Elle, elle n’a pas de poil aux pattes !

S’ils sont heureux près d’une gazelle

En oubliant qu’ vous existez,

C’est qu’elle a su prendre soin d’elle

Et qu’elle sait se faire désirer.

 

Chez Diable y a pas d’ fumée sans feu !

S'il vous pousse une paire de cornes,

C’est que vos hommes ont trouvé mieux

Dans les yeux doux d’une Licorne :

Fallait pas dépasser les bornes !

Thierry DESSEUX


Les mauvais maris 

 

Il te suit à la trace

comme un chien sans caresse

Il est là dans ta glace

et son ombre te stresse ;

Il te flatte il te sent

faut lui faire des promesses…

Les maris innocents

n’ont pas besoin de laisse.

 

Il chronomètre tout

quand tu sors il déteste

Comme un grand manitou

il espionne tes gestes ;

Ça le rend plus puissant

de fouiller dans ta veste…

Les maris innocents

se jettent sur les restes.

 

De New York à Paris

Peu importe l’adresse,

Les très mauvais maris

Font les bonnes maîtresses !

 

 

Il transpire à grande eau

si tu parles à mi-voix

Quand tu tournes le dos

il marche sur tes pas ;

S’en prend à ton beau cul

au milieu du repas…

Les mecs un peu cocus

sont de gentils papas.

 

C’est lui qui fait les courses

et ouvre le courrier

C’est lui qui tient la bourse

qui sort le fox-terrier ;

Comme il a tout vécu

faut pas le contrarier…

Les mecs un peu cocus

tiennent à rester mariés.

 

De New York à Paris

Peu importe l’adresse,

Les très mauvais maris

Font les bonnes maîtresses ! 

 

 

Toi tu dois faire semblant

Jurer que t’es heureuse

Nouer tes cheveux blancs

tes larmes silencieuses ;

Puisque lui est épris

tu dois être amoureuse…

Les très mauvais maris

n’aiment que les chaleureuses.

 

Tu dois lui dire : Je t’aime

sans en penser un mot,

Sublimer les poèmes

dans ses yeux de chameau ;

La nuit pousser des cris

sous ses coups de plumeau… 

Les très mauvais maris

ont l’hygiène qu’il faut.

 

De New York à Paris

Peu importe l’adresse,

Les très mauvais maris

Font les bonnes maîtresses !


 

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Commentaires
A
Le vieil appollon n'a aucune prétention comme quoi les mots sont bien mal compris. <br /> L'humilité est la plus belle oeuvre de l'homme.
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P
C'est vrai mon vieux Appolon qu'avec les deux phrases que tu viens de nous pondre, la vérité a fait un sacré pas en avant !
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A
Que de temps, de mots, de phrases pour ne rien exprimer... du temps perdu, des mots perdus, des phrases perdues. Il y a pourtant tant à faire...<br /> pour la vérité.
Répondre
P
Pour répondre à Noëlle, je dirais qu'en ce qui concerne ma relation avec les femmes, dès qu'il s'agit de l'autre sexe je perds très vite toute notion d'objectivité. J'adorerais comme Thierry ou l'ami Mimi, pouvoir quelque fois regarder les "choses" en face, mais je suis un faible. Sous la carapace du gros déconneur se cache, hélas, un coeur d'artichaut.<br /> Bon j'arrête là, je vais finir par chialer...<br /> Vous les femmes, vous mon drame, vous si douces, vous la source de nos larmes...
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L
génial!!!!Maryan <br /> la journée de l'homme, j'en jubile déjà, tablier de mémère et plumeau a la main vous seriez mimi, j'en ai le sourire sadique........réactions messieurs?...c'est de la provoque!!!!!!!!!!!
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